Apnée-hypopnée du sommeil : que faut-il retenir ?

Nombreuses sont les personnes ayant un sommeil nocturne un peu plus difficile. A chaque réveil, elles ressentent toujours le sentiment de quelqu’un ayant l’air fatigué avec un degré de somnolence élevé. Cela est peut être  due au syndrome d’apnée ou d’hypopnée et qui présente avec le temps des symptômes agissant directement sur la santé de ces derniers.  Ne sachant pas ce que cela veut dire, il serait donc difficile de trouver le moyen nécessaire pour l’éradiquer. C’est pour cela, que nous mettons cet article à votre disposition, afin que vous ayez l’information nécessaire pour en retour mieux gérer la situation.

Qu’est-ce que le syndrome l’apnée-hypopnée ?  

Encore connu sous le nom de SAHS, le syndrome d’apnéeshypopnées du sommeil (SAHS) est un dysfonctionnement de la respiration se déroulant durant la nuit. Il est représenté par l’apparition des symptômes d’événements respiratoires non désirables caractérisés par une diminution de cadence de passage de l’air partielle (hypopnée) ou totale (apnée) et ceci, sur une durée minimum de 10 à 15 secondes lors du sommeil.

Quelles différences faire entre apnée et hypopnée ?

Bien que ces deux syndromes aillent dans le même sens et sont pratiquement les mêmes, il faudrait savoir qu’il existe une différence palpable entre les deux. L’apnée s’explique par la présence de plusieurs pauses respiratoires. Ces pauses ou arrêts agissant sur les voies respiratoires, et, ayant une durée qui varie, se répètent plu d’une fois au cours de la nuit. Le second quant à lui, s’explique par une réduction du flux respiratoire. Ces deux troubles ont nécessairement des conséquences sur la santé, mais peuvent quand même subir un traitement.

Quels sont les types d’apnées du sommeil ?

Notons qu’il existe 03 types d’apnées : il y a celle dont l’origine constitue un éventuel obstacle sur les voies respiratoires. Il est encore connu sous le nom de « syndrome d’apnées obstructive; il y a en seconde partie, celle dont la cause provient d’un trouble de commande de la fonction respiratoire et connu comme le syndrome d’apnées centrale du sommeil et enfin, il y a celles mixtes qui constituent une association de celle précédemment cité avec les hypopnées au sein d’une même apnée (SAHOS). Ce dernier (SAHOS) est actuellement le plus fréquemment représenter chez les patients souffrant d’une anomalie de respiration obstructive. Ceci présente un risque d’attaque de maladies et de l’augmentation de la pression très élevé. 

Que faut-il faire ? 

La première des choses qui est conseillée aux patients souffrant de ces dysfonctionnements est de rejoindre immédiatement un hôpital afin d’être pris en charge par un spécialiste. Ce dernier fera un diagnostic pour déterminer I’index IAH qui est un indicateur permettant d’attester de la sévérité des troubles. Lorsque cet indicateur se retrouve supérieur à une valeur seuil de 30 arrêts, et donc positive, il est considéré comme sévère chez les patients. C’est le diagnostic le plus susceptible pouvant montrer l’état réel de votre santé. Cela pourrait causer, une baisse importante du taux d’oxygène dans le sang, une hypertension artérielle, un AVC, un diabète de type 2, un risque de somnolence conduisant à des accidents accrus par la fatigue, des céphalées, et même une dépression. Comme traitement, l’on peut faire recours aux méthodes de référence représentées essentiellement par la ventilation nocturne par pression positive continue (PPC).